Péter
dans un avion c'est un peu comme un serpent dans un avion, mais en plus
dangereux. L'éternelle interrogation, pourquoi voler nous fait-il péter
? Et devons nous nous retenir ou au contraire laisser les gaz
s’échapper ? La science a enfin trouvé des réponses.
Le Docteur Jacob Rosenberg de l'Université de Copenhague raconte qu'il s'est toujours demandé pourquoi il avait plus de flatulences quand il était dans les airs que sur la terre ferme. Un jour, après être rentré d'un récent voyage, il a ouvert son sac et a remarqué que sa bouteille d'eau était abimée par le changement de la pression ambiante. C'est alors qu'il a pensé que le volume d'air dans l'intestin augmentait lors d'un vol.
C'est simple. Quand l'altitude augmente, la pression diminue. En effet, selon le principal principe de la thermodynamique : la loi des gaz parfait, plus la pression baisse, plus le volume augmente. Comme les cabines d'avions sont pressurisées, notre corps subit égalemment cette préssion. Quand l'avion est à son altitude de croisière, soit environ 15 000 mètres, cela équivaut à une pression à l’intérieur de l'appareil identique à si l'on était à 2 500 mètre sous le niveau de la mer. Ça remue pas mal les intestins.
Se retenir de péter peut alors se révéler inconfortable et même douloureux, provoquant ballonnements, dyspepsie ou pyrosis.
Donc la prochaine fois que vous prenez l'avion, n’hésitez pas sauf si vous êtes assis à côté de moi ;)
Le Docteur Jacob Rosenberg de l'Université de Copenhague raconte qu'il s'est toujours demandé pourquoi il avait plus de flatulences quand il était dans les airs que sur la terre ferme. Un jour, après être rentré d'un récent voyage, il a ouvert son sac et a remarqué que sa bouteille d'eau était abimée par le changement de la pression ambiante. C'est alors qu'il a pensé que le volume d'air dans l'intestin augmentait lors d'un vol.
C'est simple. Quand l'altitude augmente, la pression diminue. En effet, selon le principal principe de la thermodynamique : la loi des gaz parfait, plus la pression baisse, plus le volume augmente. Comme les cabines d'avions sont pressurisées, notre corps subit égalemment cette préssion. Quand l'avion est à son altitude de croisière, soit environ 15 000 mètres, cela équivaut à une pression à l’intérieur de l'appareil identique à si l'on était à 2 500 mètre sous le niveau de la mer. Ça remue pas mal les intestins.
Se retenir de péter peut alors se révéler inconfortable et même douloureux, provoquant ballonnements, dyspepsie ou pyrosis.
Donc la prochaine fois que vous prenez l'avion, n’hésitez pas sauf si vous êtes assis à côté de moi ;)
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